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lundi 23 mars 2020

Pensées pour mes congénères

Salut les gens, je suis la petite chienne du vieux et en cette période de confinement, j'ai une pensée toute particulière pour mes amis les clébards qui vivent en ville. D'ordinaire, ils pouvaient renifler, chasser les piafs des parcs et pisser 15 000 fois pour marquer leurs territoires.

Depuis ce début de confinement, ils se voient dans l'obligation de faire leurs besoins naturels sur de vulgaires bitumes aseptisés des grandes villes. 
Quelle galère pour eux et tout cela parce qu'une bande de crétins ne respectent pas les consignes de confinement préconisées par les autorités sanitaires. Lesquelles autorités sanitaires, ont à mon avis de cleps, un peu de retard à l'allumage, mais je ne vais pas faire comme mon maître et critiquer à tout va l'incapacité de ce gouvernement à gérer une situation d'une urgence extrême. 
Alors, c'est vrai il râle, mais pas de trop et il est assez supportable, d'autant qu'il m'a acheté deux boîtes de Biscrok. 
Je ne vais pas vous parler des chats qu'ils soient des villes ou d'ailleurs, je ne les supporte pas, mais alors pas du tout. Malgré cela, j'imagine que cela ne doit pas être facile pour eux, quoique, ils peuvent en l'absence de voitures se balader peinard sur les boulevards, sans risquer pour leur paillasse.
Je ne vais pas voir mes amis préférés, les Belges et les Normands de Vire dans les jours qui viennent et ça m'ennuie beaucoup. On va se promettre dans les heures qui viennent de se faire une teuf d'enfer dès que tout cela sera terminé. Au programme : apéro au Biscrok, ventrée de croquettes et une balade de ouf sur notre plage préférée.
Allez, courage,  copains et copines !

vendredi 21 avril 2017

Et dire que vous vous déchirez pour ça (...)

Pour une première fois, je ne me passionne pas du tout pour cette campagne des présidentielles. Ne me demandez pas pourquoi, les raisons seraient trop nombreuses et diverses à énumérer ici.
L'avantage de ne pas être partisan, procure une certaine distance pour observer, du bout de ma lorgnette, les comportements des uns et des autres.
S'il y a bien une chose qui m'afflige, c'est de constater qu'un bon nombre de mes ami(e)s, s'invectivent, s'insultent, voir, se haïssent sur les réseaux sociaux et au travers de leurs blogs respectifs.
Dans ces aveuglements militants, il faudra bien se rendre compte au lendemain du second tour, que le nouveau Président, fera ce qu'il pourra avec les moyens qu'il aura (ou pas). Comme chacun le sait aujourd'hui, les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent, alors, les ami(e)s, ne soyons pas (plus) naïfs !
Cette campagne est déjà si terne, sans véritables débats de société, sans prospectives, qu'il est inutile je trouve, de rajouter de la haine à ce climat délétère ambiant. 
Enfin, j'espère sincèrement que vos rancœurs de campagne s'apaisent rapidement, afin de retrouver de la sérénité et que l'amitié reprenne sa place.
Sur ce, beau printemps à vous !

lundi 25 juillet 2016

Pour la Radio des blogueurs : "Les oliviers sont à ceux qui les cultivent". Paco Ibanez


Afin d'apporter ma pierre à l'édifice de la Radio des blogueurs, je propose à P'tit Louis pour Ecume de mes jours  et à Chronique de Bretagne de participer à cet évènement musical non subventionné...

J'ai cherché dans le répertoire une chanson dont le thème serait : Dire que c'est un gouvernement socialiste qui a fait ça (Loi Travail, etc...), je n'ai rien trouvé.  Aucun auteur ne se lance aujourd'hui dans ces répertoires, la guimauve se vend mieux ! 

La citation"Les oliviers sont à ceux qui les cultivent", était très souvent dite par  Paco Ibanez,  avant d'interpréter Andalouces de Jaén, afin de marquer son indépendance face au système.

Dans la même veine, Pablo Néruda  écrivit aussi "Je veux vivre dans un monde où les êtres soient seulement humains, sans autres titres que celui-ci, sans être obsédés par une règle, par un mot, par une étiquette.... 

A bon entendeur salut et vive la Radio des blogueurs, libre et indépendante.


jeudi 27 août 2015

En Bourgogne comme ailleurs, les vendanges approchent

Ce ne sont pas encore les vacances pour les viticulteurs. Les vignerons de Bourgogne attendent un grand cru 2015. Bonne nouvelle !

mercredi 26 août 2015

La Bourgogne vue du gîte des Hautes-Côtes de Beaune

Vous souhaitez séjourner en Bourgogne ? 

Vous n'avez pas d'hébergement ? 

Je vous conseille vivement de poser vos sacs et valises au "Gite des Hautes-Côtes de Beaune". 
C'est à mon sens le meilleur endroit pour partir à la découverte de cette authentique région chez des propriétaires au petit soin. 

Martine a décoré cette maison avec raffinement et délicatesse et Jacques a travaillé un petit lopin de terre, où vous y cueillerez tomates, courgettes, persil, thym, romarin, etc,..pour la ratatouille du soir.

Ils vous feront découvrir les vins de chez eux. 
Vous y dégusterez le superbe crémant, le savoureux blanc puis le rouge ;  tous ces vins sont bien bien évidemment estampillés Hautes-Côtes de Beaune. Tout un poème ! 

mercredi 25 mars 2015

Stop andouilles

A lire ce que je lis, à entendre ce que j'entends, à voir ce que je vois, je n'ai qu'un seul cri à pousser :

Je ne me fais pas de soucis, ils, elles, vont se reconnaître.

samedi 3 janvier 2015

L'architecture de l'éphémère

La Grande Arche de la Défense conçue par Johan Otto von Spreckelsen, Paul Andreu et  Peter Rice a été inaugurée en 1989. Après seulement 25 ans, l'édifice est  bien mal en point. En effet, les dalles en marbre de Carrare qui couvrent une partie du monument sont usées et risquent de s'effriter, le toit est désormais fermé au public et les défauts de structure sont édifiants.


La comparaison va sembler burlesque, mais les travaux du  château de Chenonceaux se sont terminés en 1430. Certes, depuis, il y a des travaux d'entretien d'usage, mais il est encore fièrement debout. 

Les monuments dits historiques nous laissent encore des traces de longévité des constructions phénoménales. Est-il utile de rappeler que l'abbaye du Mont St Michel a été érigée dans les années 700. Après de nombreux déboires (guerres, incendies), l'archange est placé en 1898.

Que dire du pont du Gard, construit entre 40 et 50 après J.-C... De tels exemples existent aux quatre coins de l'hexagone et ne manquent pas de nous rappeler que les bâtisseurs de ces époques possédaient des savoirs, qui ne sont pas appliqués aujourd'hui. Je n'évoque pas ici l'esthétisme, ce serait un autre sujet de débat.

Pourtant de nos jours, nous avons la technologie (ordinateurs et logiciels puissants), les machines (grues, élévateurs, centrales à béton), et aux dires de quelques prétentieux, une intelligence bien plus développée qu'aux siècles précédents. Petits hommes idiots.

Il faudra pourtant un jour se poser la question : qu'allons nous laisser aux générations futures  ? Quels seront les marqueurs architecturaux de notre société qui seront encore debout dans les années et siècles à venir ? A mon avis, aucun. Certains imbéciles vont me rétorquer que "peu importe",  Notre-Dame de Paris,  Le Louvre et le Fort de Brégançon seront toujours fiers et droits...

Si cette question ne se posait qu'à l'architecture, mais elle est de mise pour les arts dans leur grande diversité. 

vendredi 26 décembre 2014

Lorsque l'Angélus de St Emilion est là...

Il est possible d'écrire toute une prose sur l'oenologie. 
Bacchus a vanté les vertus et les mérites du vin bien avant moi. 

J'ai juste envie d'évoquer ici un moment de partage - de solennité autour de cet Angélus. né à St Emilion en cette fameuse année 2001.

Solennité disais-je parce que le breuvage est rare et ne se partage que pour une grande occasion. Cela a été le cas il y a quelques jours parce que c'était une belle fête. Mais une belle fête ne peut se faire, à mon sens qu'avec un ami ou deux ou trois, parce qu'avec plus de quatre, comme le disait Brassens, on est une bande de cons.  A vin exceptionnel, moment exceptionnel !

Certes, je n'en demande pas d'identiques tous les jours mais au moins lorsque l'Angélus paraît, je sais le découvrir, l'observer, le humer puis m'enivrer ensuite de ses nectars secrets profonds subtils et savoureux.
Lorsque l'amitié est là en partage - lors seuls les regards évoquent le bonheur et les paroles frôlent l'inutile.

jeudi 18 décembre 2014

A quoi vous attendre ici ?

Enfin ! Prendre le temps.


Désormais en grandes vacances, je savoure le plaisir de me retrouver sur la toile et d'écrire sur ce qui m'intéresse et de vous les faire partager.  J'ai le privilège de résider à quelques kilomètres de la mer et depuis quelques mois je navigue bien plus qu'avant. Sur ce nouveau blog, il sera donc question de ballade en mer, mais aussi de musique, de bouquins, de photographies et surtout de billets de rien comme l'écrivent à souhait Didier et Nicolas.

Oh, je n'ai nullement l'intention ici de m'épancher sur la chose politique. J'ai donné, c'était de bon coeur, mais je n'ai ni le temps, ni l'envie de consacrer du temps à ce sujet. J'en connais trop les méandres et dédales...  Et puis, il y a tellement de belles choses dont j'ai envie de parler et donc de partager, que je ne vais pas me priver. Cependant, il m'arrivera,  de temps à autre de décocher quelques coups de griffe. Quelques grandes causes et âneries de l'humanité et de l'être humain ne me laissent pas sans réaction. Heureusement. 

Faut-il dissocier l’œuvre et l’artiste ?

Voilà une question qui devrait diviser !  Je vais l’aborder au travers de trois personnalités : Charles Baudelaire , Michel Houellebecq ...